Et les diamants ? Un mythe démystifié

La première pensée qui vient à l'esprit à l'évocation des pierres précieuses est souvent le diamant. Ce "symbole de l'éternité", aux facettes étincelantes, a acquis une réputation de beauté inégalée et de valeur inestimable. Cependant, derrière ce voile de splendeur se cache une réalité qui pourrait faire vaciller bien des certitudes.

La vérité, souvent méconnue, est que la rareté des diamants a été largement surestimée, et leur valeur, artificiellement gonflée par des décennies de marketing agressif. En réalité, les diamants sont moins rares que nombre d'autres pierres précieuses. Ils sont extraits en quantités substantielles dans diverses régions du monde, notamment en Afrique du Sud, en Russie et au Canada.

Pour illustrer cette abondance, considérez que l'on extrait environ 15 diamants pour chaque rubis, 20 pour chaque émeraude et 25 pour chaque saphir. Un contraste frappant entre l'image de rareté peinte par le marketing et la réalité de leur disponibilité.

Le mythe de la rareté des diamants est largement le fruit d'une campagne marketing méticuleuse orchestrée par De Beers, une entreprise qui a longtemps détenu le quasi-monopole de l'offre mondiale de diamants. Leur slogan emblématique, "Un diamant est éternel", a ancré dans l'imaginaire collectif l'idée que les diamants sont le symbole suprême de l'amour et de l'engagement, générant une demande colossale pour ces pierres.

Mais en tant qu'investissement, les diamants posent de sérieux problèmes. Leur valeur reste difficile à établir. D'autres facteurs comme la forme et les traitements du diamant peuvent également influencer son prix, rendant son évaluation plus complexe.

De plus, contrairement à d'autres pierres précieuses comme le rubis, l'émeraude et le saphir, l'abondance relative des diamants signifie qu'ils ne maintiennent pas nécessairement leur valeur à long terme. En fait, leur valeur peut fluctuer considérablement en fonction de facteurs externes tels que les tendances du marché et l'offre et la demande.

De surcroît, les diamants sont fréquemment sujets à des traitements et améliorations qui, bien qu'augmentant leur brillance et leur apparence, peuvent en réalité déprécier leur valeur intrinsèque. Cela peut rendre leur évaluation particulièrement ardue pour un investisseur non averti.

Chez Divitaurum, nous privilégions des actifs tangibles dont la valeur est moins subjective et plus aisément quantifiable. Nous proposons des pierres précieuses et de l'or, dont la rareté est authentique et la valeur universellement reconnue. Ainsi, nos clients ont la garantie de produits dont la valeur réelle est transparente, sans être masquée par un voile de marketing tel que celui qui entoure les diamants